Alors que le gouvernement guinéen a réitéré dimanche dernier l’interdiction des manifestations de masse pour des raisons sanitaires, l’UFDG et ses alliés ne comptent pas s’y plier. Ces deux entités ont annoncé dans un communiqué le maintien de la manifestation prévue le 25 novembre pour réclamer « la vérité des urnes, la justice pour les victimes des violences post-electorales et exiger la libération de tous les détenus».
Pour l’UFDG, le parti au pouvoir a toujours organisé ses activités malgré la présence du covid-19. Le pouvoir ne fait que selon le parti se servir de la pandémie pour dérouler son agenda tout en privant les guinéenns de leurs droits.
