Les hommes de médias font toujours l’objet de menaces en Guinée ce, malgré les efforts fournis par les nouvelles autorités pour le respect de la liberté de la presse. Certains sont parfois violentés dans l’exercice de leur métier, sous l’œil impuissant du syndicat des professionnels de la presse de Guinée ( SPPG). Une situation qui n’honore pas le pays aux yeux des institutions de défense des droits de l’Homme.
Comme si les précédents cas ne suffisaient pas, c’est un autre journaliste de radio espace Conakry, qui vient de payer les frais des agissements de ces hors la loi. Il s’agit bien du reporter Aboubacar Barry (Robbie junior). Notre collègue a été suivi par des inconnus puis violenté au niveau de sangoyah deuxième porte, dans la commune de Matoto.
Selon la victime, le seul crime qu’il aurait commis est de faire des déballages sur la mauvaise qualité d’eau fournie par la SEG et un autre dossier criminel géré au niveau du commissariat de la belle vue. Aboubacar Barry, affirme avoir reçu des menaces téléphoniques venant de la présidence de la république de Guinée.
Mais qui serait derrière cette affaire honteuse, suivez les explications de ‘’Robbie Junior’’.